Même Moscovici le pense, en vacances avec sa blonde étudiante, qui se soucie peu, à ce stade, de sa retraite : Les français en ont ras-le-bol de la fiscalité, l’expression court tout Paris, à gauche, en allant jusqu’à La Rochelle, aux universités PS , avec Ségo, suivi de Lolo, sans parler de la droite de l’hémicycle.
Oui, nous le pensons également, 2012, 22 milliards, 2013, 24 milliards, 2014, 6 milliards à trouver dans le budget, gel, du barème, nouvelles tranches, baisse du quotient familial, réformes incessantes des plus values, rabot des niches...
Sans parler de la valse, désarçonnante des réformes qui se suivent, en abrogeant la dernière, à peine seiche de l’encre du décret, presque paru, ils ont du retard à Bercy, les pauvres ne suivent plus. La fiscalité des valeurs mobilières en est le meilleur exemple.

Alors nous ferons de la résistance, à défaut de manifestation des contribuables saturés, en nous ingéniant à réduire, alléger, contourner, annuler l’impôt, car « trop d’impôt tue l’impôt », voir la courbe de Laffer, et nuit à l’investissement et votre enrichissement.

Reprise...

Les Etats Unis relocalisent des entreprises industrielles. C’est nouveau, grâce aux gaz et pétrole de schiste. Le marché de l’immobilier redécolle. Bernanke envisage de baisser les taux, avant sa retraite prochaine, mais pas Draghi, qui lui se bat avec des bouts de PIB éparses...
Les BRIC, Brésil, Russie, Inde et Chine, sont à la peine, pour certains en manquent de capitaux qui refluent vers le monde développé (Europe et USA), sous l’effet d’une fin annoncée d’assouplissement monétaire aux Etats-Unis.
En France, Hollande et Sapin, se gaussent d’une moindre hausse du chômage, et d’un demi point de PIB au deuxième trimestre, mais le compte n’y est pas. Pourtant des signes encourageants, nous poussent à croire à une embellie, Guy Hocquet annonce 500 embauches d’ici la fin de l’année (pour anticiper une reprise du marché immobilier) et les marchés financiers ont pris de belles hausses cette année. Le marché obligataire est plus à la peine, les hausses de taux sont toujours une période charnière pour cette classe d’actif de fond de portefeuille.
Et juste pour rire, Porsche et Maseratti se mettent au low cost, à partir de 45 000 euros et 66 000 euros, tout de même. Il ne faudrait pas trop venir sur les terres de Dacia...

Rentrée… active...

Septembre est traditionnellement une période chargée pour nos équipes. Le prochain temps fort est « Les Patrimoniales de Valoris Patrimoine » qui aura lieu le 8 octobre prochain à Paris.
Nous vous proposerons un focus sur la transmission de patrimoine, avec Maître Burneau, notaire. Et notre partenaire, Franklin Templeton, qui nous accueille dans ses locaux de la rue de la Paix, quel joli nom plein de promesse, au milieu des bruits de bottes en Syrie...vous proposera un atelier pour mieux comprendre le secteur des obligations et la gestion obligataire.

Nous terminerons pas cette belle phrase d’Henri Bergson :
« L’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce nous allons faire »